» Atelier by carla69 ou Louvy la louve de la forêt.

› nom – Vandelli, nom qui évoque davantage les paysages de la Lombardie que la campagne anglo-saxonne.
› prénom – Sirio, prénom volé à une étoile.
› âge – Trente-deux années se sont écoulées depuis sa naissance, un quelconque douze février dans la province milanaise.
› origines sociales – Issu de la noblesse italienne. Deuxième fils du comte de Tremezzo, commune qui borde le lac de Côme, joyau du royaume de Lombardie-Vénétie. 
› situation sentimentale – Veuf depuis trois ans, la houle a arraché son épouse et ses jeunes filles, décédées en mer dans un naufrage. Même si sa famille le presse de prendre femme à nouveau, il ne paraît pas réellement chercher à se remarier. Un morceau de son cœur à lui semble avoir également sombré au fond de l’eau.
› statut/ métier – Nobile italien (baronet). À priori, seul son aîné pourra hériter du comté ; lui a intégré sans remous et sans rancœur les rangs de la petite noblesse. Il s’était lancé dans une carrière politique dès la fin de ses études mais celle-ci a été mise à mal par le dernier changement de régime et la naissance du royaume de Lombardie-Vénétie, les italiens étant actuellement écartés du pouvoir. Pour le moment, il s’occupe donc de ses affaires en Angleterre en parallèle de celles qu’il a en Lombardie. Officieusement, la révolte gronde.
› richesse – Banale pour le plus opulent, indécente pour le plus indigent. Homme bien né qui n’a jamais manqué de rien, ne connaît pas le goût de la faim. Il gère ses finances avec adresse : ses placements lui rapportent de bons intérêts et ses terres lui permettent de percevoir des rentes assez conséquentes.
›  orientation sexuelle – Hétérosexuel, à en juger par ses expériences passées. Le corps épouse encore les courbes féminines mais le cœur se glisse peu sous les draps, préfère désormais demeurer au pied de la couche.
   
 ◊ SUR SES OPINIONS POLITIQUES.

› Il a l’âme révolutionnaire, Sirio. Républicain, anticlérical, proche des girondins français et carbonari italiens avec lesquels il a participé à plusieurs émeutes ; son progressisme dénote et le distingue de son entourage familial, dévoué à la couronne autrichienne et peu décidé à renoncer aux privilèges de la noblesse. Lui a choisi de mettre son influence et sa fortune au service de cette lutte pour la justice qu’il espère voir prendre de l’ampleur et déclencher un soulèvement sans précédent dans son pays comme ailleurs.

› Jusqu’à ce que Napoléon balaye la toute jeune République italienne pour bâtir sur ses ruines un nouveau royaume, Sirio n’était pas particulièrement hostile à l’ingérence française. La désillusion causée par ce retour soudain à un système monarchique a contribué à nourrir son désir de renouveau et d’indépendance ; à l’heure actuelle, il s’oppose donc fermement à la mainmise des Habsbourg sur la péninsule italienne et défend une unification de tous les royaumes du pays.

 ◊ SUR SES INTÉRÊTS ET SES ACTIVITÉS.

› Grand amateur de littérature, habile orateur qui ne néglige pas la puissance du mot bien choisi, Sirio se passionne également pour l’écriture. Essayiste aux idées alimentées par les Lumières, il publie ses écrits politiques sous un pseudonyme pour préserver son anonymat. Toujours dans le secret, il lui arrive régulièrement de correspondre avec d’autres figures européennes du républicanisme.

› Cavalier aguerri que rien n’apaise comme une longue chevauchée, il s’intéresse également à l'élevage, hobby partagé avec son père qui élève et vend des chevaux de race Lipizzan  depuis de nombreuses années.

 ◊ SUR LUI-MÊME.

› Polyglotte, Sirio parle évidemment italien mais maîtrise également l’allemand, l’anglais et le français – dans une moindre mesure pour cette dernière –. Si les années passées en Angleterre l’ont aidé à se familiariser avec l’accent britannique, il semble tout de même prendre plaisir à laisser celui de son pays d’origine enrober encore quelques phrases.

› Globe-trotter qui a développé très tôt le goût du voyage. Bien qu’il passe beaucoup de temps à l’étranger et ce d’autant plus ces dernières années, pas un an ne s’écoule sans qu’il ne revienne au moins pour quelques semaines dans sa province natale car il y reste très attaché. Même si ses occupations l’obligent à se rendre régulièrement en ville, c’est loin du tumulte milanais qu’il se sent le plus en paix. Sa propriété préférée se situe sur les bords du lac de Côme, non loin de celle où il a passé toute son enfance.

› Sirio a une assez mauvaise vision de près et même plissés ses yeux peinent, bataillent pour déchiffrer les caractères couchés sur le papier. Il lui arrive quelques fois de se débrouiller sans mais il a donc tendance à s’aider d’un face-à-main lorsqu’il lit ou écrit.

 ◊ SUR SON PASSÉ.

› Plus jeune, on l’a envoyé poursuivre des études en économie à l’université d’Oxford et se préparer à trouver une épouse en Angleterre par la même occasion. Chose rare dans un monde où les intérêts de chacun gouvernent l’union des âmes : l’amour a précédé le mariage. Il a eu de la chance, Sirio, mais il n’en a pas eu bien longtemps. On ne peut prendre le risque de s’habituer au bonheur.

   

› nom – Vandelli, évoque davantage les paysages de la Lombardie que la campagne anglo-saxonne.
› prénom – Sirio, volé à une étoile.
› âge – Trente-deux années se sont écoulées depuis sa naissance, un quelconque douze février dans la province milanaise.
› origines sociales – Issu de la noblesse italienne. Deuxième fils du comte de Tremezzo, commune qui borde le lac de Côme, joyau du royaume de Lombardie-Vénétie. 
› situation sentimentale – Veuf depuis trois ans, la houle a arraché son épouse et ses jeunes filles, décédées en mer dans un naufrage. Même si sa famille le presse de prendre femme à nouveau, il ne paraît pas réellement chercher à se remarier. Un morceau de son cœur à lui semble avoir également sombré au fond de l’eau.
› statut/ métier – Nobile italien (baronet). À priori, seul son aîné pourra hériter du comté ; lui a intégré sans remous et sans rancœur les rangs de la petite noblesse. Il s’était lancé dans une carrière politique dès la fin de ses études mais celle-ci a été mise à mal par le dernier changement de régime et la naissance du royaume de Lombardie-Vénétie, les italiens étant actuellement écartés du pouvoir. Pour le moment, il s’occupe donc de ses affaires en Angleterre en parallèle de celles qu’il a en Lombardie. Officieusement, la révolte gronde.
› richesse – Banale pour le plus opulent, indécente pour le plus indigent. Homme bien né qui n’a jamais manqué de rien, ne connaît pas le goût de la faim. Il gère ses finances avec adresse : ses placements lui rapportent de bons intérêts et ses terres lui permettent de percevoir des rentes assez conséquentes.
›  orientation sexuelle – Hétérosexuel, à en juger par ses expériences passées. Le corps épouse encore les courbes féminines mais le cœur se glisse peu sous les draps, préfère désormais demeurer au pied de la couche.
   
 ◊ SUR SES OPINIONS POLITIQUES.

› Il a l’âme révolutionnaire, Sirio. Républicain, anticlérical, proche des girondins français et des carbonari italiens avec lesquels il a participé à plusieurs émeutes ; son progressisme dénote et le distingue de son entourage familial, dévoué à la couronne autrichienne et peu décidé à renoncer aux privilèges de la noblesse. Lui a choisi de mettre son influence et sa fortune au service de cette lutte pour la justice qu’il espère voir prendre de l’ampleur et déclencher un soulèvement sans précédent dans son pays comme ailleurs.

› Jusqu’à ce que Napoléon balaye la toute jeune République italienne pour bâtir sur ses ruines un nouveau royaume, Sirio n’était pas particulièrement hostile à l’ingérence française. La désillusion causée par ce retour soudain à un système monarchique a contribué à nourrir son désir de renouveau et d’indépendance ; à l’heure actuelle, il s’oppose donc fermement à la mainmise des Habsbourg sur la péninsule italienne et défend une unification de tous les royaumes du pays.

 ◊ SUR SES INTÉRÊTS ET SES ACTIVITÉS.

› Grand amateur de littérature, habile orateur qui ne néglige pas la puissance du mot bien choisi, Sirio se passionne également pour l’écriture. Essayiste aux idées alimentées par les Lumières, il publie ses écrits politiques sous un pseudonyme pour préserver son anonymat. Toujours dans le secret, il lui arrive régulièrement de correspondre avec d’autres figures européennes du républicanisme.

› Cavalier aguerri que rien n’apaise comme une longue chevauchée, il s’intéresse également à l'élevage, hobby partagé avec son père qui élève et vend des chevaux de race Lipizzan depuis de nombreuses années.

 ◊ SUR LUI-MÊME.

› Polyglotte, Sirio parle évidemment italien mais maîtrise également l’allemand, l’anglais et le français – dans une moindre mesure pour cette dernière –. Si les années passées en Angleterre l’ont aidé à se familiariser avec l’accent britannique, il semble tout de même prendre plaisir à laisser celui de son pays d’origine enrober encore quelques phrases.

› Globe-trotter qui a développé très tôt le goût du voyage. Bien qu’il passe beaucoup de temps à l’étranger et ce d’autant plus ces dernières années, pas un an ne s’écoule sans qu’il ne revienne au moins pour quelques semaines dans sa province natale car il y reste très attaché. Même si ses occupations l’obligent à se rendre régulièrement en ville, c’est loin du tumulte milanais qu’il se sent le plus en paix. Sa propriété préférée se situe sur les bords du lac de Côme, non loin de celle où il a passé une bonne partie de son enfance.

› Sirio a une assez mauvaise vision de près et même plissés ses yeux peinent, bataillent pour déchiffrer les caractères couchés sur le papier. Il lui arrive quelques fois de se débrouiller sans mais il a donc tendance à s’aider d’un face-à-main lorsqu’il lit ou écrit.

 ◊ SUR SON PASSÉ.

› Plus jeune, on l’a envoyé poursuivre des études en économie à l’université d’Oxford et se préparer à trouver une épouse en Angleterre par la même occasion. Chose rare dans un monde où les intérêts de chacun gouvernent l’union des âmes : l’amour a précédé le mariage. Il a eu de la chance, Sirio, mais il n’en a pas eu bien longtemps. On ne peut prendre le risque de s’habituer au bonheur.

   

› nom – Vandelli, évoque davantage les paysages de l’Italie que la campagne anglo-saxonne.
› prénom – Sirio, volé à une étoile.
› âge –  Trente-deux années se sont écoulées depuis sa naissance, un quelconque douze février dans la province milanaise.
› origines sociales – Issu de la noblesse italienne. Deuxième fils du comte de Tremezzo, commune qui borde le lac de Côme, joyau du royaume de Lombardie-Vénétie. 
› situation sentimentale – Veuf depuis trois ans, la houle a arraché son épouse et ses jeunes filles, décédées en mer dans un naufrage. Même si sa famille le presse de prendre femme à nouveau, il ne paraît pas réellement chercher à se remarier. Un morceau de son cœur à lui semble avoir également sombré au fond de l’eau.
› statut/ métier – Nobile italien (baronet). À priori, seul son aîné pourra hériter du comté ; lui a intégré sans remous et sans rancœur les rangs de la petite noblesse. Il s’était lancé dans une carrière politique dès la fin de ses études mais celle-ci a été mise à mal par un nouveau changement de régime. Pour le moment, il s’occupe donc de ses affaires en Angleterre en parallèle de celles qu’il a en Lombardie. Officieusement, la révolte gronde.
› richesse – Banale pour le plus opulent, indécente pour le plus indigent. Homme bien né qui n’a jamais manqué de rien, ne connaît pas le goût de la faim. Il gère ses finances avec adresse : ses placements lui rapportent de bons intérêts et ses terres lui permettent de percevoir des rentes assez conséquentes.
›  orientation sexuelle – Hétérosexuel, à en juger par ses expériences passées. Le corps épouse encore les courbes féminines mais le cœur se glisse peu sous les draps, préfère désormais demeurer au pied de la couche.
   
 ◊ SUR SES OPINIONS POLITIQUES.

› Il a l’âme révolutionnaire, Sirio. Républicain, anticlérical, proche des girondins français et des carbonari italiens avec lesquels il a participé à plusieurs émeutes ; son progressisme dénote et le distingue de son entourage familial, dévoué à la couronne autrichienne et peu décidé à renoncer aux privilèges de la noblesse. Lui a choisi de mettre son influence et sa fortune au service de cette lutte pour la justice qu’il espère voir prendre de l’ampleur et déclencher un soulèvement sans précédent dans son pays comme ailleurs.

› Jusqu’à ce que Napoléon balaye la toute jeune République italienne pour bâtir sur ses ruines un nouveau royaume, Sirio n’était pas particulièrement hostile à l’ingérence française. La désillusion causée par ce retour soudain à un système monarchique a contribué à nourrir son désir d’indépendance ; à l’heure actuelle, il s’oppose donc fermement à la mainmise des Habsbourg sur la péninsule italienne et défend une unification de tous les royaumes du pays.

 ◊ SUR SES INTÉRÊTS ET SES ACTIVITÉS.

› Amateur de littérature, habile orateur qui ne néglige pas la puissance du mot bien choisi, Sirio se passionne également pour l’écriture. Essayiste aux idées alimentées par les Lumières, il publie ses écrits politiques sous un pseudonyme pour préserver son anonymat. Toujours dans le secret, il lui arrive régulièrement de correspondre avec d’autres figures européennes du républicanisme.

› Cavalier aguerri que rien n’apaise comme une longue chevauchée, il s’intéresse également à l'élevage, hobby partagé avec son père qui élève et vend des chevaux de race Lipizzan depuis de nombreuses années.

 ◊ SUR LUI-MÊME.

› Polyglotte, Sirio parle évidemment italien mais maîtrise également l’allemand, l’anglais et le français – dans une bien moindre mesure pour cette dernière –. Si les années passées en Angleterre l’ont aidé à se familiariser avec l’accent britannique, il semble tout de même prendre plaisir à laisser celui de son pays d’origine enrober encore quelques phrases.

› Globe-trotter qui a développé très tôt le goût du voyage. Bien qu’il passe beaucoup de temps à l’étranger et ce d’autant plus ces dernières années, pas un an ne s’écoule sans qu’il ne revienne au moins pour quelques semaines dans sa province natale car il y reste très attaché. Même si ses occupations l’obligent à se rendre régulièrement en ville, c’est loin du tumulte milanais qu’il se sent le plus en paix. Sa propriété préférée se situe sur les bords du lac de Côme, non loin de celle où il a passé une bonne partie de son enfance.

› Sirio a une assez mauvaise vision de près et même plissés ses yeux peinent, bataillent pour déchiffrer les caractères couchés sur le papier. Il lui arrive quelques fois de se débrouiller sans mais il a donc tendance à s’aider d’un face-à-main lorsqu’il lit ou écrit.

 ◊ SUR SON PASSÉ.

› Plus jeune, on l’a envoyé poursuivre des études en économie à l’université d’Oxford et trouver une épouse en Angleterre par la même occasion. Chose rare dans un monde où les intérêts de chacun gouvernent l’union des âmes : l’amour a précédé le mariage. Il a eu de la chance, Sirio, mais il n’en a pas eu bien longtemps. On ne peut prendre le risque de s’habituer au bonheur.

   

› nom – Vandelli, évoque davantage les paysages de l’Italie que la campagne anglo-saxonne.
› prénom – Sirio, volé à une étoile.
› âge – Trente-deux années se sont écoulées depuis sa naissance, un quelconque douze février dans la province milanaise.
› origines sociales – Issu de la noblesse italienne. Deuxième fils du comte de Tremezzo, commune qui borde le lac de Côme, joyau du royaume de Lombardie-Vénétie. 
› situation sentimentale – Veuf depuis trois ans, la houle a arraché son épouse et ses jeunes filles, décédées en mer dans un naufrage. Même si sa famille le presse de prendre femme à nouveau, il ne paraît pas réellement chercher à se remarier. Un morceau de son cœur à lui semble avoir également sombré au fond de l’eau.
› statut/ métier – Nobile italien (baronet). À priori, seul son aîné pourra hériter du comté ; lui a intégré sans remous et sans rancœur les rangs de la petite noblesse. Il s’était lancé dans une carrière politique dès la fin de ses études mais celle-ci a été mise à mal par un nouveau changement de régime. Pour le moment, il s’occupe donc de ses affaires en Angleterre en parallèle de celles qu’il a en Lombardie. Officieusement, la révolte gronde.
› richesse – Banale pour le plus opulent, indécente pour le plus indigent. Homme bien né qui n’a jamais manqué de rien, ne connaît pas le goût de la faim. Il gère ses finances avec adresse : ses placements lui rapportent de bons intérêts et ses terres lui permettent de percevoir des rentes assez conséquentes.
›  orientation sexuelle – Hétérosexuel, à en juger par ses expériences passées. Le corps épouse encore les courbes féminines mais le cœur se glisse peu sous les draps, préfère désormais demeurer au pied de la couche.
   
 ◊ SUR SES OPINIONS POLITIQUES.

› Il a l’âme révolutionnaire, Sirio. Républicain, anticlérical, proche des girondins français et des carbonari italiens avec lesquels il a participé à plusieurs émeutes ; son progressisme dénote et le distingue de son entourage familial, dévoué à la couronne autrichienne et peu décidé à renoncer aux privilèges de la noblesse. Lui a choisi de mettre son influence et sa fortune au service de cette lutte pour la justice qu’il espère voir prendre de l’ampleur et déclencher un soulèvement sans précédent dans son pays comme ailleurs.

› Jusqu’à ce que Napoléon balaye la toute jeune République italienne pour bâtir sur ses ruines un nouveau royaume, Sirio n’était pas particulièrement hostile à l’ingérence française. La désillusion causée par ce retour soudain à un système monarchique a contribué à nourrir son désir d’indépendance ; à l’heure actuelle, il s’oppose donc fermement à une mainmise étrangère sur la péninsule italienne et défend une unification de tous les royaumes du pays.

 ◊ SUR SES INTÉRÊTS ET SES ACTIVITÉS.

› Grand amateur de littérature, habile orateur qui ne néglige pas la puissance du mot bien choisi, Sirio se passionne également pour l’écriture. Essayiste aux idées alimentées par les Lumières, il publie ses écrits politiques sous un pseudonyme pour préserver son anonymat. Toujours dans le secret, il lui arrive régulièrement de correspondre avec d’autres figures européennes du républicanisme.

› Cavalier aguerri que rien n’apaise comme une longue chevauchée, il s’intéresse également à l'élevage, hobby partagé avec son père qui élève et vend des chevaux de race Lipizzan depuis de nombreuses années.

 ◊ SUR LUI-MÊME.

› Polyglotte, Sirio parle évidemment italien mais maîtrise également l’allemand, l’anglais et le français – dans une bien moindre mesure pour cette dernière –. Si les années passées en Angleterre l’ont aidé à se familiariser avec l’accent britannique, il semble tout de même prendre plaisir à laisser celui de son pays d’origine enrober encore quelques phrases.

› Globe-trotter qui a développé très tôt le goût du voyage. Bien qu’il passe beaucoup de temps à l’étranger et ce d’autant plus ces dernières années, pas un an ne s’écoule sans qu’il ne revienne au moins pour quelques semaines dans sa province natale car il y reste très attaché. Même si ses occupations l’obligent à se rendre régulièrement en ville, c’est loin du tumulte milanais qu’il se sent le plus en paix. Sa propriété préférée se situe sur les bords du lac de Côme, non loin de celle où il a passé une bonne partie de son enfance.

› Sirio a une assez mauvaise vision de près et même plissés ses yeux peinent, bataillent pour déchiffrer les caractères couchés sur le papier. Il lui arrive parfois de se débrouiller sans mais il a donc tendance à s’aider d’un face-à-main lorsqu’il lit ou écrit.

 ◊ SUR SON PASSÉ.

› Plus jeune, on l’a envoyé poursuivre des études en économie à l’université d’Oxford et trouver une épouse en Angleterre par la même occasion. Chose rare dans un monde où les intérêts de chacun gouvernent l’union des âmes : l’amour a précédé le mariage. Il a eu de la chance, Sirio, mais il n’en a pas eu bien longtemps. On ne peut prendre le risque de s’habituer au bonheur.